The Carolina madtom (Noturus furiosus) is a species of fish in the family Ictaluridae. It is endemic to North Carolina. It is a small catfish, reaching a maximum length of nearly five inches. Described in the late-1800s by ichthyologists Jordan and Meek, this fish is the only madtom that is endemic to North Carolina, as indicated by its common name.[2]
When compared to other madtoms, the Carolina madtom has a short, chunky body and a distinct color pattern. Three dark saddles along its back connect a wide, black stripe along its side extending from its snout to the base of its tail. The adipose fin has a dark blotch that does not quite reach the fin's edge, giving the impression of a fourth saddle. Yellowish to tan blotches space the saddles, while the rest of the fish is tan. The belly is un-speckled, and the tail has crescent-shaped brown bands near its edge and center. Its pectoral spines have well-defined serrated (saw-like) projections along both margins. Stinging spines in its pectoral fins, earn this fish the “furiosus” title that is part of its scientific name.[3]
The species occurs in riffles, runs, and pools in medium to large streams and rivers. Ideally, it inhabits fresh waters with continuous, year-round flow and moderate gradient in both the Piedmont and Coastal Plain physiographic regions. Optimal substrate for the Carolina madtom is predominantly silt-free, stable, gravel and cobble bottom habitat, and it must have cover for nest sites, including under rocks, bark, relic mussel shells, and even cans and bottles.[3]
The Carolina madtom is a sight feeder most active during the night, with peaks at dawn and dusk. It eats bottom-dwelling invertebrates such as larval midges, mayflies, caddisflies, dragonflies and beetle larvae.[3]
Females produce anywhere from 80 to 300 eggs per season and lay them in cover areas. Males guard the nest until the eggs hatch. Juveniles grow about two inches in their first two years and then mature between age two and three. It is not certain how long these fish live, but they at least reach four years of age.[4]
The Carolina madtom occurs only in portions of the Tar and Neuse river basins in North Carolina. It tends to occupy the relatively larger streams that flow into the Tar and Neuse rivers, which further limits its range and abundance. Because the species has a restricted range and occurs only in certain types of waters, the N.C. Natural Heritage Program lists the Carolina madtom as “Significantly Rare” for the Tar River Basin population and as a species of “Special Concern” for the Neuse River Basin population. Its small size makes it unappealing to anglers, and it is classified as a nongame species.[2]
The Carolina Madtom faces a variety of threats from declines in water quality, loss of stream flow, riparian and instream fragmentation, deterioration of instream habitats, and expansion of the invasive predator Flathead catfish. These threats are expected to be exacerbated by urbanization and climate change.[3]
The Carolina madtom needs clean, flowing water to survive. Human-caused increases in river water temperatures have been identified as a factor in the decline of the madtom.[3]
Drought and impoundments slow down the natural flow of streams, compromise water quality, hamper fish movement, limit available prey, and prevent waste and fine sediments from flushing out of the stream.[3]
Streams with urbanized or agriculturally dominated riparian corridors tend to have more sediment in the water and unstable banks and/or impervious surface runoff, resulting in less suitable streams for fish as compared to habitat with forested corridors.[3]
Dams and perched or undersized culverts limit the madtom's ability to distribute throughout streams to find good quality habitat. For example, the construction of Falls Lake dam in the upper Neuse isolated Carolina madtoms in the upper basin from the middle Neuse basin. Isolated or patchy distributions of fish may limit genetic exchange.[3]
The flathead catfish is an invasive top predator in the Neuse and Tar River basins, upon which no other creatures prey. It feeds mostly on other fish. Hydrilla is an invasive, submerged aquatic plant that forms nearly impenetrable mats of stems and leaves at the surface of the water. It alters stream habitat, decreases flows, and contributes to sediment buildup in streams.[3]
The Carolina madtom (Noturus furiosus) is a species of fish in the family Ictaluridae. It is endemic to North Carolina. It is a small catfish, reaching a maximum length of nearly five inches. Described in the late-1800s by ichthyologists Jordan and Meek, this fish is the only madtom that is endemic to North Carolina, as indicated by its common name.
Noturus furiosus es una especie de peces de la familia Ictaluridae en el orden de los Siluriformes.
• Los machos pueden llegar alcanzar los 12 cm de longitud total.[2][3]
Se encuentran en Norteamérica: Carolina del Norte (Estados Unidos ).
Noturus furiosus es una especie de peces de la familia Ictaluridae en el orden de los Siluriformes.
Noturus furiosus Noturus generoko animalia da. Arrainen barruko Ictaluridae familian sailkatzen da.
Noturus furiosus Noturus generoko animalia da. Arrainen barruko Ictaluridae familian sailkatzen da.
Noturus furiosus (appelé en anglais Carolina madtom) est une espèce de poisson de la famille des Ictaluridae. Il est endémique de Caroline du Nord. C'est un petit poisson-chat d'une longueur maximale de presque treize centimètres. Décrit à la fin des années 1800 par les ichtyologistes Jordan et Meek, ce poisson est la seule espèce du genre Noturus endémique de Caroline du Nord, comme l'indique son nom commun[2].
Noturus furiosus est plus court et trapu que les autres Noturus et possède des motifs colorés caractéristiques. Trois bandes sombres le long de son dos rejoignent une large bande noire le long de son côté, qui s'étend de son museau à la base de sa queue. Sa nageoire adipeuse présente une tache sombre qui n'atteint pas tout à fait son extrémité, donnant l'impression d'une quatrième bande. Des taches jaunâtres à beiges séparent les bandes, tandis que le reste du poisson est beige. Le ventre n'est pas tacheté et la queue a des bandes brunes en forme de croissant près de son bord et au centre. Ses épines pectorales ont des saillies dentelées bien définies (en forme de scie) le long des deux marges. Les épines acérées de ses nageoires pectorales valent à ce poisson le titre de « furiosus » qui fait partie de son nom scientifique[3].
L'espèce est présente dans les gués naturels, les rapides et les mares des rivières moyennes et grandes. Idéalement, elle habite les eaux douces avec un débit continu toute l'année et une pente modérée dans les régions physiographiques du Piedmont et de la plaine côtière. Son substrat optimal est principalement un habitat stable, sans limon, à fond de gravier et de galets, et il doit offrir une couverture pour les sites de nidification, par exemple des roches, des écorce, de vieilles coquilles de moules et même des boîtes et des bouteilles[3].
Noturus furiosus chasse à vue, surtout durant la nuit, avec des pics à l'aube et au crépuscule. Il mange des invertébrés du fond des rivières comme des larves de moucherons, d'éphémères, de trichoptères, de libellules et de coléoptères[3].
Les femelles produisent chaque saison entre 80 et 300 œufs, qu'elles et les pondent dans des zones couvertes. Les mâles gardent le nid jusqu'à ce que les œufs éclosent. Les juvéniles grandissent d'environ 5 centimètres au cours de leurs deux premières années, puis deviennent matures entre deux et trois ans. On ne sait pas combien de temps ces poissons vivent, mais ils atteignent au moins quatre ans[4].
Noturus furiosus n'est présent que dans certaines parties des bassins fluviaux de la Tar et de la Neuse en Caroline du Nord. Il a tendance à n'occuper que les grands affluents de la Tar et de la Neuse, ce qui limite encore son aire de répartition et son abondance. Son aire de répartition restreinte et son exigence de certains types d'eaux ont valu à l'espèce d'être classée par le NC Natural Heritage Program comme « significativement rare » pour la population du bassin de la Tar et comme « préoccupante » pour celle du bassin de la Neuse. Sa petite taille le rend peu attrayant pour les pêcheurs à la ligne, et il est classé comme non-pêchable[2].
Noturus furiosus fait face des menaces variées comme le déclin de la qualité de l'eau, la perte de débit et la fragmentation des rivières, la détérioration de ses habitats et l'expansion du poisson-chat à tête plate, un prédateur envahissant. Ces menaces devraient être exacerbées par l'urbanisation et le changement climatique[3].
Noturus furiosus a besoin d'eau propre et courante pour survivre. L'augmentation de la température de l'eau des rivières causée par l'homme a été identifiée comme un facteur de son déclin[3].
La sécheresse et les retenues ralentissent le débit naturel des cours d'eau, compromettent la qualité de l'eau, entravent les déplacements des poissons, limitent les proies disponibles et empêchent les déchets et les sédiments fins d'être évacués par les courants[3].
Les cours d'eau aux couloirs ripariens urbanisés ou dominés par l'agriculture ont tendance à avoir plus de sédiments dans l'eau et des berges instables et / ou imperméables, ce qui les rend moins propices pour ce poisson que les rivières aux couloirs ripariens boisés[3].
Les barrages et les buses sous-dimensionnées limitent la capacité de Noturus furiosus à se répartir dans les cours d'eau pour trouver un habitat de bonne qualité. La construction du barrage de Falls Lake sur la haute Neuse en 1981 a isolé leur population du bassin supérieur de celle du bassin moyen de la Neuse. Des distributions isolées ou irrégulières des poissons peuvent limiter leurs échanges génétiques[3].
Le poisson-chat à tête plate est un prédateur invasif des bassins de la Neuse et de la Tar, dont aucune autre créature ne se nourrit. Il se nourrit principalement d'autres poissons. L'hydrilla est une plante aquatique envahissante, qui forme des tapis presque impénétrables de tiges et de feuilles à la surface de l'eau. Elle modifie l'habitat des cours d'eau, diminue leurs débits et y contribue à l'accumulation de sédiments[3].
Noturus furiosus (appelé en anglais Carolina madtom) est une espèce de poisson de la famille des Ictaluridae. Il est endémique de Caroline du Nord. C'est un petit poisson-chat d'une longueur maximale de presque treize centimètres. Décrit à la fin des années 1800 par les ichtyologistes Jordan et Meek, ce poisson est la seule espèce du genre Noturus endémique de Caroline du Nord, comme l'indique son nom commun.
Noturus furiosus é uma espécie de peixe da família Ictaluridae.
É endémica dos Estados Unidos da América.[1]
Noturus furiosus é uma espécie de peixe da família Ictaluridae.
É endémica dos Estados Unidos da América.