Die Einteilung der Lebewesen in Systematiken ist kontinuierlicher Gegenstand der Forschung. So existieren neben- und nacheinander verschiedene systematische Klassifikationen. Das hier behandelte Taxon ist durch neue Forschungen obsolet geworden oder ist aus anderen Gründen nicht Teil der in der deutschsprachigen Wikipedia dargestellten Systematik.
Die Einfurchenpollen-Zweikeimblättrigen (Magnoliopsida) bildeten in manchen Systematiken ein Taxon von Pflanzen aus der Abteilung der Bedecktsamer (Magnoliophyta). In aktuellen Systematiken bilden sie kein eigenes Taxon mehr, da sie paraphyletisch sind, sondern werden unter dem Begriff basale Ordnungen zusammengefasst.[1]
Die Vertreter sind meist holzige Pflanzen und besitzen ätherische Öle (Phenylpropanoide, Terpene), die sich in kugeligen Idioblasten befinden. Die Blätter sind einfach und besitzen keine Nebenblätter.
Die Blüten sind sehr unterschiedlich gestaltet. Es können zahlreiche Blütenorgane vorhanden sein, die dann meist schraubig angeordnet sind, die Blütenorgane können in dreizähligen Kreisen angeordnet sein; in manchen Fällen sind sie noch stärker reduziert. Die Fruchtblätter sind häufig frei (chorikarp). Der Pollen ist meist monocolpat, besitzt also eine Furche, worauf sich auch der deutsche Name der Gruppe bezieht.
Pflanzen der Magnoliopsida enthalten häufig Benzylisochinolinalkaloide und die mit diesen biosynthetisch verwandten Neolignane.
Die Einfurchenpollen-Zweikeimblättrigen sind paraphyletisch, das heißt, sie umfassen wahrscheinlich nicht alle Nachkommen ihres letzten gemeinsamen Vorfahren. Sie umfassen die basalen Gruppen der Bedecktsamer und besitzen zahlreiche Gemeinsamkeiten. Insgesamt unterscheidet man etwa 10.000 Arten.
Die Verwandtschaftsverhältnisse sind durch molekularbiologische Studien inzwischen einigermaßen gut bekannt. Sie lassen sich in folgendem Kladogramm darstellen, das auch die beiden anderen Klassen der Bedecktsamer enthält. Zu den Magnoliopsida gehörende Taxa sind fett geschrieben:[2]
Klasse Dreifurchenpollen-Zweikeimblättrige (Rosopsida)
Magnolienähnliche (Magnoliidae)
Hornblattähnliche (Ceratophyllales)
Klasse Einkeimblättrige (Liliopsida)
Sternanisartige (Austrobaileyales)
Seerosenartige (Nymphaeales)
Die Verhältnisse zwischen den fünf oberen Gruppen sind noch nicht mit hinreichender Sicherheit aufgeklärt, sodass hier kein klare Unterteilung vorgenommen werden kann.
Die Magnoliopsida werden in vier Unterklassen unterteilt, die neun Ordnungen enthalten, wobei zwei Ordnungen keiner Unterklasse zugeordnet sind:
Die Einteilung der Lebewesen in Systematiken ist kontinuierlicher Gegenstand der Forschung. So existieren neben- und nacheinander verschiedene systematische Klassifikationen. Das hier behandelte Taxon ist durch neue Forschungen obsolet geworden oder ist aus anderen Gründen nicht Teil der in der deutschsprachigen Wikipedia dargestellten Systematik.
Die Einfurchenpollen-Zweikeimblättrigen (Magnoliopsida) bildeten in manchen Systematiken ein Taxon von Pflanzen aus der Abteilung der Bedecktsamer (Magnoliophyta). In aktuellen Systematiken bilden sie kein eigenes Taxon mehr, da sie paraphyletisch sind, sondern werden unter dem Begriff basale Ordnungen zusammengefasst.
Magnoliopsida is a valid botanical name for a class of flowering plants.[1] By definition the class will include the family Magnoliaceae, but its circumscription can otherwise vary, being more inclusive or less inclusive depending upon the classification system being discussed.
In the Takhtajan system and the Cronquist system, the name was used for the group known as dicotyledons.
The Takhtajan system used this internal taxonomy:
The Cronquist system used this internal taxonomy (in the 1981 version):
The Cronquist system has been very popular, and there have been many versions of the system published. In some of these Cronquist-based systems the name Magnoliopsida (at the rank of class) refers to the flowering plants (angiosperms).
The Dahlgren system and the Thorne system (1992) used the name Magnoliopsida for the flowering plants.
The Reveal system used the name Magnoliopsida for a group of the primitive dicotyledons, corresponding to about half of the plants in the magnoliids:
In the APG and APG II systems, botanical names are used only at the rank of order and below. Above the rank of order, these systems use their own names, such as angiosperms, eudicots, monocots, rosids, etc. These names refer to clades (unranked). The class Magnoliopsida is not defined. The idea that dicotyledons are a taxonomic unit and require a formal name is rejected by the APG: the dicots are considered to be paraphyletic.
Magnoliopsida is a valid botanical name for a class of flowering plants. By definition the class will include the family Magnoliaceae, but its circumscription can otherwise vary, being more inclusive or less inclusive depending upon the classification system being discussed.
Dicotyledonae, Dicotylédones, Magnoliopsides
Les Dicotylédones sont, écrit simplement, les plantes dont la plantule issue de la germination d'une graine, présente dès avant sa sortie en plein air, deux feuilles, appelées cotylédons ou parfois improprement, préfeuilles ou éophylles.
Plus en détail, les Magnoliopsides (Magnoliopsida) ou Dicotylédones (Dicotyledonae) forment un taxon de plantes à fleurs (Angiospermes) dans les classifications évolutionnistes. Contrairement aux monocotylédones, ce taxon est paraphylétique puisqu'il ne contient pas tous les descendants de son dernier ancêtre commun[1]. Il est ainsi rejeté par les cladistes, qui n'utilisent donc pas ce terme, ou bien seulement de manière descriptive pour signifier « à deux cotylédons ».
Les dicotylédones sont très présentes dans la plupart des écosystèmes terrestres, avec 200 000 espèces sur Terre. Un cotylédon ressemble à une feuille mais n'en est pas une au sens embryologique du terme (elle ne provient pas d'un bourgeon, mais directement de la graine) : c'est une structure de réserve qui initie également la photosynthèse dans les premiers jours de la plante. Elle finit par disparaître lorsque les feuilles ont pris le relais.
En général, les dicotylédones présentent une plantule à deux cotylédons, ce qui les différencie des monocotylédones (comme les herbes et graminées) qui, en général, n'en présentent qu'un seul. Les feuilles ont des nervures ramifiées, et les stomates sont généralement orientés aléatoirement sur la partie inférieure du limbe. Les fleurs partagent avec l'implantation des feuilles une symétrie d'ordre 4 ou 5. La fleur typique présente quatre verticilles (sépales, pétales, étamines et carpelles). Dans la plupart des espèces, la racine est de type pivotante.
C'est chez les dicotylédones que l'on observe, au niveau des tiges, la présence de cambium permettant la formation de bois secondaire vers l'intérieur et de liber vers l'extérieur.
Chez la majorité des dicotylédones, le bois est hétéroxylé, c'est-à-dire qu'il comporte des vaisseaux, des fibres, et éventuellement, des trachéides.
L'âge d'apparition des dicotylédones n'est pas connu, celui des Angiospermes dont il dérive directement, vieux d'au moins 240 millions d'années[2], n'étant lui-même pas connu. Ces dicotylédones archaïques (dites basales) auraient été caractérisées initialement par une simple aperture sur les grains de pollen (zones de faiblesse permettant le passage du tube pollinique), avant qu'une évolution n'engendre des dicotylédones à 3 apertures, dites dicotylédones 'vraies', ou 'Eudicotylédones'.
Les Dicotylédones sont connues sous les noms scientifiques : Dicotyledonae, Magnoliopsida, etc., selon la classification adoptée.
Dans la classification classique de Cronquist (1981) les dicotylédones forment la classe des Magnoliopsida, divisée en six sous-classes :
Dans la classification de Takhtajan (2009)[1] les dicotylédones forment également une classe du même nom, mais elle est divisée en huit sous-classes :
Selon la classification phylogénétique APG II (2003) et classification phylogénétique APG III (2009), les dicotylédones sont paraphylétiques, c'est-à-dire que ce groupe contient bien son dernier ancêtre commun mais pas la totalité de ses descendants. En effet,
Le caractère "deux cotylédons" n'est donc en revanche pas un caractère dérivé propre partagé (synapomorphie), condition pour que le groupe soit un clade, seul groupe reconnu dans la classification phylogénétique.
Les groupes des Rosidae et des Asteridae sont ainsi des sous-groupes de Dicotylédones vraies d'apparition récente, présentant des structures florales parfois complexes comme le capitule des Astéracées.
Dicotyledonae, Dicotylédones, Magnoliopsides
Les Dicotylédones sont, écrit simplement, les plantes dont la plantule issue de la germination d'une graine, présente dès avant sa sortie en plein air, deux feuilles, appelées cotylédons ou parfois improprement, préfeuilles ou éophylles.
Plus en détail, les Magnoliopsides (Magnoliopsida) ou Dicotylédones (Dicotyledonae) forment un taxon de plantes à fleurs (Angiospermes) dans les classifications évolutionnistes. Contrairement aux monocotylédones, ce taxon est paraphylétique puisqu'il ne contient pas tous les descendants de son dernier ancêtre commun. Il est ainsi rejeté par les cladistes, qui n'utilisent donc pas ce terme, ou bien seulement de manière descriptive pour signifier « à deux cotylédons ».
Les dicotylédones sont très présentes dans la plupart des écosystèmes terrestres, avec 200 000 espèces sur Terre. Un cotylédon ressemble à une feuille mais n'en est pas une au sens embryologique du terme (elle ne provient pas d'un bourgeon, mais directement de la graine) : c'est une structure de réserve qui initie également la photosynthèse dans les premiers jours de la plante. Elle finit par disparaître lorsque les feuilles ont pris le relais.
La classe delle dicotiledoni (Magnoliopsida) comprende piante a fiore nel cui seme l'embrione è fornito di due cotiledoni.
Le dicotiledoni comprendono piante sia erbacee che legnose, generalmente provviste di un apparato radicale seminale con radici a fittone o talora fascicolate, a crescita continua, più o meno ramificate, con la presenza o meno di radici avventizie.
La struttura primaria del fusto è eustelica con fasci collaterali aperti ad anello, con presenza di cambio cribro-vascolare e accrescimento secondario.
Le foglie sono distinte in picciolo e lamina, con margini di forma varia; le nervature sono reticolate. I fiori sono tetrameri o pentameri con verticilli di 4 o 5 pezzi e provvisti di perianzio, generalmente distinto in calice (sepali) e corolla (petali); sono simmetrici o irregolari.
Il seme e la plantula sono provvisti di due cotiledoni. Le dicotiledoni hanno i petali a gruppi di 4-5 o di loro multipli.
Recentemente, in base ad analisi cladistiche e di sequenziamento del DNA cloroplastico, mitocondriale e nucleare, è stata messa in discussione la distinzione[1][2] adottata finora che divideva le Angiosperme in due classi, le Liliopsida (monocotiledoni) e le Magnoliopsida (dicotiledoni), (Olmstead et al. 1992a, Chase et al. 1993,[3] Doyle 1996,[4] 1998,[5] Doyle et al. 1994,[6] Donoghue y Doyle 1989,[7] Graham y Olmstead 2000,[8] Mathews y Donoghue 1999,[9] Savolainen et al. 2000,[10] Soltis et al. 2000,[11] Zimmer et al. 2000,[12] Hilu et al. 2003, Zanis et al. 2003) in quanto si riteneva che la separazione tra le due classi datasse dal Cretaceo; attualmente si ritiene che solo le monocotiledoni derivino da antenati comuni a tutta la classe (classe monofiletica), mentre le dicotiledoni deriverebbero da due o più gruppi con origine differente, formando quindi un gruppo parafiletico e i caratteri già menzionati sarebbero plesiomorfi all'interno delle angiosperme. In questo modo si distinguono:
La suddivisione in due sottoclassi, Metaclamidee (o Simpetale) e Archiclamidee, proposta dal botanico polacco Adolf Engler alla fine dell'Ottocento, non è più ritenuta valida.[13]
Nel sistema Cronquist (1981) la classe Magnoliopsida è suddivisa in 6 sottoclassi, per un totale di 64 ordini:
La classe delle dicotiledoni (Magnoliopsida) comprende piante a fiore nel cui seme l'embrione è fornito di due cotiledoni.