Coleophora laricella, the western larch case-bearer, is a moth belonging to the family of case-bearing moths Coleophoridae. It is native to Central and Northern Europe, with its original food source being the European larch or Larix decidua. However, it was introduced to North America in the mid-19th century where it has gained a wide range and become an invasive defoliater of several species of the genus Larix, particularly the western larch Larix occidentalis and the tamarack larch Larix laricina.
Coleophora laricella produces one generation per year with four life stages egg, larva (with four instars, or growth stages), pupa and adult.
Adult females produce 50–70 eggs, deposited one at a time on the needles of the larch. New eggs are a bright yellow colour, but they later turn burnished red. Eggs have 12 to 14 ridges extending from the top to the base of the egg. In areas with dense C. laricella infestations, females may deposit as many as 10 eggs per needle. Eggs hatch in about two weeks.[1]
Larvae are 5–6 mm long, hatch in July, and pupate about 11 months later. The first and second instar larvae hatch and bore directly from the egg into the needle, and mine inside the needle until August or September, during which the hollowed out needle is converted into the distinctive case. Once the case is created, the larvae progress to the third instar during which the case is fastened to a new needle with silk. The larvae continue to mine the needles discarding old cases as new needles are hollowed out and converted. In October, the larvae prepare for winter by attaching their cases to more solid parts of the tree (twigs, bark, etc.). When spring comes and the larch refoliates the larvae molt into the fourth instar stage and continue mining.[1][2]
The pupal stages lasts for about two weeks late May or early June. It is marked by the degradation of the needle/case structure to cigar shaped and light gray.[1]
Adult moths are small (4–6 mm long with a 6–10 mm wingspan), very narrow and silvery brown in colour. They lack ocelli and maxillary palps. The wings are discal, sharply pointed and "fringed" or tattered looking. They are on the wing from May to July.[3] The head is grey; the antennae grey-whitish, very indistinctly ringed with grey. Forewings are shining grey, hindwings grey.[4]
Despite the fact that larches drop their needles in the winter and refoliate in the spring, the repeated, seasonal mining behavior performed by the larvae and the pupae of C. laricella is extremely damaging to the host tree. After five years of infestation in most species of Larix the annual growth rate is reduced by 97%. New growth is limited by 50%, which makes for a $3 million yearly loss of stumpage value. Infested trees are also extremely susceptible to other infestations and diseases, such as armillarial root disease, caused by Armillaria sinapina.[1][2]
C. laricella are weather and temperature sensitive and natural fluctuations from year to year can greatly reduce populations. Needle blights which reduce the food supply for larva can also act as a reducing agent. Additionally, native predation and parasitism keep populations in check.[1]
Where natural controls are not enough to prevent severe defoliation non-native parasites have been introduced. The most important two being Agathis pumila and Chrysocharis laricinellae, which are fly-like European wasps. A. pumila was shown to be effective in eastern North America in the 1930s, but had less success in the west. C. laricinellae, a heartier parasite that only targets C. laricella was introduced in Montana, Idaho, Oregon and Washington, where it has had much greater success. Since 1960 these two species, combined with natural factors have parasitized over 90% of the casebearer populations in some areas.[1][5][6]
In stands of high aesthetic, commercial or conservation value the USDA Forest Service has authorized the use of the insecticide malathion for larval control.[1]
Coleophora laricella, the western larch case-bearer, is a moth belonging to the family of case-bearing moths Coleophoridae. It is native to Central and Northern Europe, with its original food source being the European larch or Larix decidua. However, it was introduced to North America in the mid-19th century where it has gained a wide range and become an invasive defoliater of several species of the genus Larix, particularly the western larch Larix occidentalis and the tamarack larch Larix laricina.
Lehise-tupekoi (Coleophora laricella) on liblikaliste seltsi kuuluv putukaliik.
Liblikat on ka Eestis.
Lehise-tupekoi (Coleophora laricella) on liblikaliste seltsi kuuluv putukaliik.
Liblikat on ka Eestis.
Coleophora laricella est une espèce de lépidoptères (papillons) de la famille des Coleophoridae. Elle est originaire du nord et du centre de l'Europe, où sa source principale de nourriture est le Mélèze Larix decidua. Cependant, elle a été introduite en Amérique du Nord au milieu du XIXe siècle où elle s'est largement répandue. Elle est devenue une espèce défoliatrice invasive pour plusieurs espèces de Mélèze du genre Larix, particulièrement le Mélèze occidental, Larix occidentalis et le Mélèze laricin, Larix laricina.
Coleophora laricella produit une seule génération par an avec quatre stades : œuf, larve (avec quatre mues ou stades de croissance), la pupe et l'adulte.
La femelle adulte dépose de 50 à 70 œufs en une fois sur les aiguilles du Mélèze. Les œufs pondus depuis peu sont d'une couleur jaune brillant mails ils virent au rouge brunâtre en vieillissant. Ils présentent de 12 à 14 arêtes du sommet à la base. Dans les zones à forte densité d'infestation de C. laricella, les femelles peuvent déposer jusqu'à 10 œufs par aiguille. Les œufs éclosent en à peu près deux semaines[1].
Les larves mesurent de 5 à 6 mm de long , pondent en juillet, et se transforment en pupe environ 11 mois plus tard. Les premier et second stades larvaires éclosent et percent directement de l'œuf dans l'aiguille. Ils forent alors leurs galeries dans les aiguilles jusqu'en août ou septembre. Pendant ce temps, l'aiguille évidée est transformée en fourreau individuel.
Quand le fourreau est réalisé, la larve arrive au troisième stade durant lequel le fourreau est façonné dans une nouvelle aiguille avec de la matière soyeuse. La larve continue ensuite à miner les aiguilles, rejetant les vieux fourreaux au fur et à mesure que de nouvelles aiguilles sont évidées et transformées. En octobre, la chenille se prépare à l'hiver en attachant son fourreau à des parties plus solides de l'arbre (brrindilles, écorce...) Quand le printemps arrive, et que le Mélèze retrouve ses aiguilles, la larve mue à son dernier stade et continue à miner[1],[2].
Le stade pupaire dure de mai à début juin. Il est caractéristique de la dégradation de la structure du fourreau-feuille en une forme de cigare légèrement grise[1].
Les adultes sont relativement petits (4–6 mm de long), avec une envergure de 6 à 10 mm, très minces et d'un marron argenté comme couleur. Ils n'ont ni ocelles ni palpes maxillaires. Ils volent de mai à juillet[3].
Bien que le Mélèze perde ses aiguilles en hiver et les retrouve au printemps, les minages répétés sont extrêmement dommageables à la plante hôte. Après cinq ans d'infestation, pour la plupart des espèces de Larix, la croissance annuelle est réduite de 50 %, ce qui cause une perte de 3 millions de $ par an (E-U). Les arbres contaminés sont également sujets à d'autres infestations et maladies comme l'armillaire sur les racines, causé par l'Armillaria sinapina[1],[2].
C. laricella est sensible à la météo et à la température. Les fluctuations naturelles peuvent, d'année en année, grandement réduire les infestations. Les maladies des aiguilles réduisent la nourriture et sont un agent limitateur des populations également. De plus, la prédation et le parasitisme maintiennent les populations à un niveau plus raisonnable[1]
Quand la lutte naturelle ne suffit pas pour la prévention de sévères défoliations, des parasites non-natifs sont introduits. Les deux plus importants sont Agathis pumila et Chrysocharis laricinellae, qui ressemblent aux guêpes européennes. A. pumila se révèle plus efficace en Amérique du Nord dans les années 1930, mais a beaucoup moins de succès dans l'ouest. C. laricinellae, un parasite qui cible uniquement C. laricella a été tenté avec beaucoup plus de succès au Montana, Idaho, Oregon et Washington. Depuis 1960, ces deux espèces, ajoutées à d'autres facteurs naturels ont parasité plus de 90 % des populations dans certaines régions[1], [4],[5].
Dans les cas de dégâts élevés aux niveaux esthétique, commercial ou de conservation, l'« USDA forest service » a autorisé l'emploi d'insecticide malathion pour limiter la prolifération des larves[1].
Coleophora laricella est une espèce de lépidoptères (papillons) de la famille des Coleophoridae. Elle est originaire du nord et du centre de l'Europe, où sa source principale de nourriture est le Mélèze Larix decidua. Cependant, elle a été introduite en Amérique du Nord au milieu du XIXe siècle où elle s'est largement répandue. Elle est devenue une espèce défoliatrice invasive pour plusieurs espèces de Mélèze du genre Larix, particulièrement le Mélèze occidental, Larix occidentalis et le Mélèze laricin, Larix laricina.
De larikskokermot (Coleophora laricella) is een vlinder uit de familie kokermotten (Coleophoridae). De wetenschappelijke naam is voor het eerst geldig gepubliceerd in 1817 door Hübner.
De soort komt voor in Europa.
Bronnen, noten en/of referentiesColeophora laricella é uma espécie de mariposa do gênero Coleophora pertencente à família Coleophoridae.[1]
Coleophora laricella é uma espécie de mariposa do gênero Coleophora pertencente à família Coleophoridae.